Certains contenus sont réservés, mais vous y avez peut-être déjà accès... Pour le savoir, rien de plus simple, inscrivez-vous ou connectez-vous avec votre adresse email professionnelle.
Le Black Friday du 23 novembre dernier a rappelé que la fibre environnementale avait bien du mal à résister aux pulsions consuméristes entretenues par des rabais alléchants.
Il paraît que le journalisme est l'un des pires métiers à exercer. Vous comprendrez aisément que je ne souscris pas à cette assertion, et il me faudrait plus qu'un édito pour souligner la richesse de cette profession.
Les Français ne font pas la distinction entre une société d’assurance, un groupe de protection sociale ou une mutuelle parce que leurs méthodes de tarification et leurs pratiques commerciales sont de plus en plus convergentes. Les partenariats entre des mutuelles et des sociétés d'assurance contribuent à la confusion.
Jeudi 7 juin, j’avais rendez-vous pour une conférence de presse organisée par deux syndicats : FO et CGT Generali. C'est un événement finalement assez rare dans l'assurance.
Depuis quelques jours, le nom d'Henri de Castries noirci les pages de la presse nationale. Celui qui fut un temps pressenti pour prendre la tête d'HSBC et que certains d'entre vous imaginaient couler des jours heureux comme « n'importe quel » retraité, pourrait revenir sur le devant de la scène.
J'emploie rarement la première personne du singulier dans mes éditos, mais je dois bien avouer ma consternation à la lecture des comptes rendus des débats concernant le PLFSS 2017 à l'Assemblée nationale.
Les objets connectés ont le vent en poupe dans le secteur. Pour l'heure, réglementation oblige, ils servent avant tout à inculquer le goût de l'effort physique pour se bâtir, ou conserver, une meilleure santé. En bref, faire de la prévention.
Depuis plusieurs mois, le mot disruption s'est invité dans le vocabulaire du secteur de l'assurance. Servi à toutes les sauces, il est d'ailleurs souvent affublé d'un « même si je n'aime pas le terme », par ses plus fervents partisans. Mais pour l'heure, le disruption, que l'on aime ou pas la dénomination, semble plutôt relever de la chimère et du levier de communication que de la réalité. Car aucun Colin Powell n'est encore venu brandir, aux yeux du monde, la moindre preuve de l'existence d'armes de disruption massive dans le secteur de l'assurance en France.