Top 5 : L’assurance assume le passé et se penche sur l’avenir

Entre affaires vieilles de plusieurs décennies et innovations, le secteur de l’assurance a fait le grand écart la semaine dernière, à en juger par notre top 5.

Avant d’évoquer les sujets qui fâchent, jetons un œil sur le premier article de notre classement hebdomadaire. Il concerne InsPeer et son principe de mutualisation des franchises. Nouvelle-née dans le secteur, la plateforme initiée à la fin du mois de février permet au secteur de mettre un premier pied dans l’assurance collaborative.

Nouveau-né et futur toujours avec en deuxième position du top 5, notre article sur la création d’un comparateur dédié à l’assurance-crédit. En voilà un qui devrait faire plaisir au Gema puisqu’avec, entre autres, la Coface et Euler-Hermés, il s’annonce comme représentatif de l’offre du marché. Il compare en outre les couvertures.

Le 3e article nous renvoie en 1987. Dirty Dancing inonde les salles obscures et Michael Jackson sort son album Bad. Un signe, sûrement, puisque cette même année, Abeille-Vie propose un contrat d’assurance-vie à cours connus. Jackpot assuré pour les clients et risque de banqueroute pour le porteur de risque. Ce qu’est devenu Aviva après le rachat d’Abeille-Vie en 2002, année marquée par le succès de Pink, Don’t let me get me (Ne me laissez pas me faire avoir, en français)… Aujourd’hui encore, près de 30 après, Aviva paie les conséquences de sa modification unilatérale des modalités du contrat.

Du passé faisons table rase pourrait résumer le 4e article de notre classement. Il concerne en effet les avancées du droit à l’oubli pour les personnes ayant guéri d’un cancer et qui souhaitent contracter un crédit et donc s’assurer. Le protocole sera officiellement signé par la ministre de la Santé, le ministre des Finances et la FFSA ce mercredi 25 mars à 12h30 au Palais de l’Elysée peut-on lire dans l’agenda prévisionnel de la semaine de Michel Sapin.

Terminons ce top 5 avec l’avenir de la nation que représentent les étudiants. Ils sont 80.000 à s’expatrier chaque année pour poursuivre leurs études ou effectuer un stage. Une population ciblée par Europ Assistance avec son offre « Evasio stages & études ». Elle prévoit notamment la prise en charge des frais de soins, dont 20 euros de préservatifs par an. Au-delà, les étudiants en sont de leur poche. C’est qu’il faut bosser, aussi, pour assurer l’avenir de la France…

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