Dans le sillage de sa maison-mère britannique, Aviva France publie ses résultats 2018. La filiale tricolore enregistre une hausse de son résultat opérationnel et de son chiffre d’affaires en dommages.
Aviva France signe une bonne année 2018 avec une hausse de 6% de son résultat opérationnel* (vie, dommages et santé) à 577M d’euros. En dommages, l’assureur enregistre une croissance de son chiffre d’affaires de 5% à 1,3Md d’euros et un ratio combiné* à 94,5% (le ratio combiné* dommages et santé pointant lui à 94,7%). Une performance portée entre autre « par le dynamisme du réseau des agents généraux et une campagne de marque audacieuse », indique l’assureur dans un communiqué. « Aviva France continue de progresser sur sa cible stratégique des professionnels avec une hausse de son chiffre d’affaires de 7% notamment soutenu par l’accélération du déploiement de ses activités courtage dommages qui progressent de 35% », poursuit la compagnie qui progresse par ailleurs sur ses activités dommages en direct, avec une production nette positive de plus de 20 000 contrats.
Côté vie, Aviva France voit ses affaires nouvelles PVNBP** croître de 6% à 4,9Md d’euros, alors que la valeur des affaires nouvelles vie/épargne/retraite baisse de 5% à 237M d’euros. « La part d’unités de compte dans les affaires nouvelles s’élève à 42% (42% en 2017) sur l’ensemble du périmètre des activités vie, soit près de 10 points au-dessus du marché », poursuit Aviva France.
« Nous souhaitons poursuivre sur cette lancée en 2019, avec notamment un focus sur le développement de nouveaux partenariats externes, le lancement de la gamme d’assurance-vie responsable (ISR) la plus complète en France dans le cadre de nos fortes ambitions sur le marché de la retraite et enfin le déploiement opérationnel de notre programme Client Unique qui combine le meilleur de nos agents généraux et de nos solutions digitales », conclut Patrick Dixneuf, le directeur général d’Aviva France.
*IFRS
** Present value of new business premiums (Primes correspondant à la valeur actuelle des primes futures générées par la nouvelle production)
