Techniques de vente : Vendre la GAV en complément de l’assurance santé

La souscription d’un contrat complémentaire santé ainsi que les prestations servies par la Sécurité sociale offrent un premier socle d’indemnisation avec la prise en charge des dépenses médicales.

Mais, en cas d’accident grave, le préjudice ne se limite pas à de simples prestations de santé : chute du niveau de vie de la famille, handicap, souffrances endurées, préjudice esthétique, moral, d’agrément,… Autant d’éléments qui ne seront pas pris en compte par une simple couverture santé et qui pourront néanmoins avoir un fort impact sur le confort de vie.

Ces risques sont encore mésestimés par les assurés.

La GAV, le prolongement naturel de l’assurance santé

L’objectif d’une GAV est de prendre en charge les victimes d’accidents corporels. Le seuil d’intervention, généralement inférieur à 30% d’invalidité, ne les réserve pas uniquement aux cas les plus graves (paralysie par ex.) : la perte d’un doigt en bricolant peut ouvrir droit à une prestation.

Mettez en avant les conséquences financières d’un accident

Une simple chute dans les escaliers à son domicile peut avoir pour conséquence un handicap rendant indispensable le réaménagement du foyer. Si les soins seront effectivement pris en charge par la Sécurité sociale et par l’assurance complémentaire santé, comment votre client va-t-il financer les travaux ? Peut-il puiser dans son épargne ou va-t-il devoir recourir à l’emprunt ?

Les prestations d’une GAV permettront de ne pas ajouter de conséquences financières à une situation déjà difficile.

Etre indemnisé même sans tiers responsable

La GAV permet d’être indemnisé même en l’absence de tiers responsable.
Selon le ministère de la santé, les accidents de la vie courante touchent plus de 11 millions de personnes chaque année, dont 4,5 millions font l’objet d’un recours aux urgences.
Ils sont la 3ème cause de mortalité en France.

Dans la plupart des cas, le responsable de l’accident est la victime elle-même.

 Avec Kaléa Formation

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