Tag: prevoyance2018
Magazine NaPro : Édition spéciale prévoyance
Le magazine News Assurances Pro spécial prévoyance aborde les difficiles équilibres techniques de ce marché, dans un contexte de taux bas et de dérapage du risque arrêt de travail. Où en sont les différents acteurs ? Comment retrouver des marges de rentabilité ?
Prévoyance des autoentrepreneurs : l’arbre cache la forêt
Très peu d’assureurs se sont positionnés pour couvrir les autoentrepreneurs des plateformes en ligne. L’absence de chiffres sur la sinistralité laisse le marché plein d'incertitudes.
Le match : AG2R La Mondiale-Matmut vs Malakoff Médéric-Humanis
INFOGRAPHIE - Le paysage des groupes de protection sociale est en pleine reconfiguration. AG2R La Mondiale a annoncé son projet de rapprochement avec Matmut tandis que Malakoff Médéric et Humanis étudient également la possibilité d'une fusion. Si ces alliances se concrétisent, qui pèsera plus lourd ?
Risque long : Les GPS face aux provisions pour sinistres inconnus
Face à la dérive de la sinistralité en prévoyance, différents groupes de protection sociale ont été contraints à renforcer leurs provisions ces dernières années. Avec des impacts notables sur la solvabilité.
Collectivités territoriales : la prévoyance, un risque méconnu
L’environnement de la protection sociale des fonctionnaires pourrait changer, suite aux conclusions de la mission conjointe de l’Inspection Générale des affaires sociales de l’Inspection générale des finances et de l’Inspection générale de l’administration, qui planchent sur le sujet.
Christophe Scherrer : ” La sinistralité en prévoyance demeure élevée “
INTERVIEW- Christophe Scherrer, directeur général délégué de Malakoff Médéric, revient sur les résultats de l'année 2017, sur la recrudescence de la sinistralité en prévoyance et sur les ambitions de Malakoff Médéric sur le courtage.
Dossier : La délégation de gestion se stabilise en 2017
En 2017, les organismes complémentaires ont délégué la gestion de 35% des contrats collectifs de prévoyance/santé, selon Actuaris. Une proportion qui reste stable par rapport à 2016. Si la délégation des frais de santé est désormais courante, sur le gros risque elle se limite majoritairement à l’incapacité ou à l’instruction des dossiers.
