Résultats AON T3 2008 : augmentation de 6 % des revenus trimestriels à 1,8 Md$

    * Augmentation de 6 % des revenus trimestriels à 1,8 Md$, dont 2 % issus de la croissance organique,
    * Croissance du bénéfice par action sur opérations courantes de 27 % à 0,52 $.

    Le groupe Aon annonce également les résultats suivants :

    * le bénéfice ajusté par action croît de + 33 % à 0,69 $
    * la marge avant impôt s’élève à 11,5 % ; la marge courante ajustée augmente de 140 points de base à 15,1 %
    * les revenus de la branche Conseil progressent de 4 % avec une croissance organique du chiffre d’affaire de 6 %
    * rachat de 9,3 millions d’actions pour un montant de 426 M$
    * le groupe renforce les économies prévues dans son plan de restructuration lancé en 2007, les passant de 60 M$ à 300 M$ en année pleine, les coûts afférents à cette restructuration passant de 90 M$ à 450 M$
    * le résultat net du Groupe recule de 43 % à 117 M$, soit 0,40 $ par action, contre 204 M$ et 0,64 $ par titre pour la même période l’année précédente, cette évolution intégrant l’incidence des activités interrompues
    * le résultat net des opérations courantes augmente en revanche de + 18% à 153 M$ soit 0,52 $ cents par titre contre 130 M$ et 0,41 $ l’an passé.

    Comme annoncé, le Groupe est entré dans la phase finale de rachat de Benfield pour un montant de 844 M£ en cash, net des 91 M£ de dettes.

    « Ces résultats illustrent l’amélioration constante de chacun de nos indicateurs clés (+2 % de croissance organique, une marge ajustée qui croit de 140 points de base et un BPA des opérations courantes de + 33%) malgré des conditions de marché très soft et des bouleversements sans précédent sur le marché de l’assurance » déclare Greg Case, Président Directeur Général du Groupe. « Guidés par notre engagement à maîtriser nos dépenses, nous avons augmenté les économies relatives à notre plan de restructuration initié en 2007 de 60 M$, nous permettant de réinvestir dans des outils à la hauteur de notre position de leader et par voie de conséquence d’augmenter la marge. Par ailleurs la solidité de notre bilan nous permet de continuer à financer des investissements tel que le rachat de Benfield tout en se focalisant sur notre cœur de métier”.

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