Encaissement Plus : AXA Winterthur propose un service d’encaissement aux PME

    Pour les petites et moyennes entreprises, l’encaissement de créances en suspens est une démarche particulièrement fastidieuse et coûteuse. Avec Encaissement Plus, la Winterthur-ARAG se propose de leur venir en aide en reprenant à sa charge les procédures et les frais de recouvrement des créances non contestées.

    Ces derniers mois, la nette dégradation de la situation économique n’a pas épargné les petites et moyennes entreprises, qui sont d’autant plus pénalisées lorsque des clients n’honorent pas leurs factures. «Pour parer aux risques financiers que cela implique, les entreprises concernées doivent engager des procédures d’encaissement d’envergure», explique Thierry Luterbacher, directeur de la Winterthur-ARAG, société d’assurance de protection juridique. Celle-ci lance sur le marché Encaissement Plus, un service qui s’occupe des démarches de recouvrement et endosse les frais qui y sont liés pour les PME. Il inclut par exemple la réalisation des opérations de recouvrement de créances non contestées et la prise en charge des coûts liés à la procédure de poursuite, jusqu’à la menace de saisie ou la commination de faillite, frais de tribunal compris. La somme d’assurance se monte à 50 000 CHF par cas et par année.

    Encaissement Plus permet aussi l’accès à des informations importantes

    Pour éviter les pertes sur débiteurs, une seule règle d’or à suivre: mieux vaut prévenir que guérir! «Il est donc judicieux de se renseigner sur la situation financière de ses partenaires commerciaux», indique Thierry Luterbacher. C’est pourquoi avec Encaissement Plus, les clients ont gratuitement accès à une plate-forme en ligne sur laquelle ils peuvent consulter des informations sur la solvabilité d’autres entreprises, dans la limite d’un forfait de 200 CHF par an. Ce produit destiné aux petites et moyennes entreprises, qui combine soutien dans les procédures de recouvrement et mise à disposition d’informations précieuses pour les relations d’affaires, peut être associé à une assurance de protection juridique assortie d’un module «droit contractuel».

    Que pensez-vous du sujet ?